Orange Is the New Black
Entre les murs de la prison pour femmes de Litchfield, la vie n’est pas rose tous les jours. Rattrapées par le passé, des détenues venues d’horizons divers cohabitent dans cette société en vase clos. Si coups bas et tensions sont monnaie courante, l’amour, la solidarité mais surtout l’humour subsistent ...
Lire le résumé complet >
Terminée | Américaine | 60 minutes |
Comédie dramatique, Comedy, Crime, Drama | Netflix, NETFLIX (FR) | 2013 |
1 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable
2.12 - La tempête
It Was the Change
Une tempête tropicale frappe la côte et tout Litchfield se prépare à une inondation : la plomberie lâche, le courant saute et l'eau envahit le bâtiment. Toutes les détenues sont donc confinées dans la cantine, où les deux groupes de Red et Vee se surveillent l'un l'autre. Depuis l'agression de Watson, qui s'en est sortie sans trop de dommages, la guerre est déclarée entre les deux femmes. Aussi, dès qu'elle en a l'occasion, Red tente d'étrangler Vee mais ne parvient pas à l'achever. Poussey détruit une partie de la marchandise de Vee, qui décide de punir Taystee.
Diffusion originale : 06 juin 2014
Diffusion française :
06 juin 2014
Réalisat.eur.rice.s :
Phil Abraham
Scénariste.s :
Sara Hess
Guest.s :
Brian Haley
,
Deborah Rush
,
Laura Prepon
,
Lori Petty
,
Rebecca Drysdale
,
Todd Susman
La coupure de courant liée à la tempête permet vraiment de mettre en place une atmosphère différente dans la prison. Finalement, on a le sentiment que l'ensemble des masques se brise un peu pour laisser place à qui on est réellement.
Poussay m'a vraiment fait de la peine dans cet épisode. On sent qu'elle est désemparée et au bout. Ses retrouvailles avec Taystee étaient réellement touchantes, bien qu'un peu trop rapides à mon goût. J'aurais aimé que son éviction soit plus lente, et que leur amitié soit réintroduite petit à petit.
Côté Vee et Red maintenant. Il faut vraiment que cette connasse dégage. Elle est malsaine pour tout le monde, c'est une évidence depuis le premier épisode. Red est vraiment trop naïve (pourtant, on pourrait croire le contraire), car il était évident que cette histoire de trêve était un gros foutage de gueule. Pourtant, quand on y réfléchit, c'est elle qui a raison. Cela est complètement stupide de se prendre la tête sur "la vente de maquillage et de clopes dans une prison".
Dans les faits moins marquants mais plutôt drôles, j'ai beaucoup aimé le plan de Boo et la "conquête des lesbiennes". C'est tellement too much, mais vraiment marrant. Idem pour la directrice de la prison, pressée qu'elle morfle (même si, je l'avoue, elle m'a fait de la peine quand j'ai vu qu'elle était trompée par son mari).